DÉSUNION
Dieu nous proclame qu’il a lui-même engendré son fils,
il nous avertit que nous irons à notre mort si nous ne rendons pas hommage à
son fils qui peut nous abriter, nous sauver, nous délivrer.
Ø
Voyons ce que notre BIBLE déclare :
Psaumes 2 : 7, 10, 12
7 Je veux proclamer ce qui est
une loi immuable : « L’Eternel
m’a dit : Tu es mon fils, c’est moi
qui, aujourd’hui, t’ai engendré !
10 Et maintenant, ô rois, sachez comprendre,
tenez-vous pour avertis, juges de la terre !
12 Rendez hommage au fils, de peur
qu’il ne s’indigne, et que vous n’alliez à votre perte ; car bien vite sa
colère prend feu ; heureux tous ceux qui s’abritent en lui !
Ø
Au point de vue spirituel, nous errons à la dérive.
Pour le juif
pieux, la phrase la plus précieuse de la Torah est :
DEUTERONOME
6 :4 « Ecoute
Israël : l’Eternel, notre Dieu, l’Eternel
est un ! »
Le judaïsme se vante quant à lui, d’avoir
donné au monde la connaissance du seul vrai Dieu.
Mais il a perdu le point
essentiel de cette doctrine :
l’idée de la sainteté de Dieu.
Une sainteté si grande qu’elle
ne peut avoir aucun contact avec le péché.
Et nous chrétiens, depuis des centaines d’années, nous
prions, nous prions, et nous prions encore…
Nous ne nous rendons même pas compte que toutes ces
prières ne sont pas entendues parce que nous n’observons pas comme il se doit
la parole de Dieu, car nous ne prenons dans cette parole que ce qui nous
convient
Ø Notre bible est pourtant très claire : Esaïe 59 : 1-2
1 Assurément, la main de
l’Eternel n’est pas trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour
entendre.
2 Mais vos méfaits ont mis une barrière entre vous et votre
Dieu ; vos péchés sont cause qu’il a détourné sa face de vous et cessé de
vous écouter.
Tout le système de sacrifices par le sang fut institué
uniquement pour le pardon du péché, pour ouvrir une voie, par laquelle l’homme
puisse s’approcher de Dieu.
Aujourd’hui, le judaïsme n’a ni sentiment de péché, ni
connaissance de sacrifice par le sang, ni réconciliation.
Nous sommes nous les gentils tellement salis de
péchés que Dieu ne veut plus nous voir ni nous écouter. Il est temps que nous prenions consciences de
notre état.
Pourtant, Il est si bienveillant, qu’il s’immole en la
personne de Jésus Christ, pour nous donner une autre chance.
DIEU NOUS DONNE UNE AUTRE CHANCE
Lisons la bible : Ps 2:7-12
1 « L’Eternel m’a
dit : Tu es mon fils, c’est moi
qui, aujourd’hui, t’ai engendré !
2 Rendez hommage au fils, de peur… que vous
n’alliez à votre perte ; car bien vite sa colère prend feu : heureux tous ceux qui s’abritent en
lui !
Esaïe 53 : 4 – 6
4 Et pourtant ce sont nos maladies
dont il était chargé, nos souffrances qu’il portait, alors que nous, nous le prenions pour un malheureux
atteint, frappé par Dieu, humilié.
5 Et c’est pour nos péchés qu’il a été meurtri, par nos iniquités qu’il a été
écrasé ; le châtiment, gage de
notre salut, pesait sur lui, et c’est sa blessure qui nous a valu la
guérison.
6 Nous étions tous comme des brebis
errantes, chacun se dirigeant de son côté, et Dieu a fait retomber sur lui
notre crime à tous.
Voyons ce que déclare le prophète
en : Esaïe
25 :8
8 A jamais il anéantira la mort, et
ainsi le Dieu éternel fera sécher les larmes sur tout visage et disparaître de
toute la terre l’opprobre de son peuple :
c’est l’Eternel qui a parlé. Waouh !
Succinctement
a – Nos péchés ont rompu toutes communications
avec Dieu.
b – Nous allons à notre perte, c’est la mort
éternelle.
c – Dieu engendre son propre fis, le Messie
d – Dieu nous demande de rendre hommage à son
fils, sinon, c’est notre perte. Il
spécifie : « Heureux
ceux qui s’abritent en lui » ;
e – Dieu sacrifie son fils unique pour nos
péchés et nos iniquités en spécifiant que
Ceux sont nos crimes à nous tous qui sont retombés sur lui.
f – Dieu nous promet que ce sacrifice, gage de
notre salut, nous a valu la guérison, et que la mort éternelle est anéantie.
CONCLUSION
En lavant
nos péchés dans le sang de Jésus-le-Messie, nous rétablissons la communication
avec l’Eternel.
En nous voyant purs, Il nous écoute.
Il nous sauve.
C’est
la vie éternelle que nous ne sommes pas obligés d’accepter.
Nous avons le choix, nous pouvons la refuser en rejetant le sacrifice de
notre Seigneur Jésus-Christ.
Notre plus grande difficulté spirituelle est
notre manque absolu de la représentation du péché.
Nous ne faisons aucun effort pour chercher le salut car nous n’en sentons
pas la nécessité.
Par de longs discours nous essayons de démontrer notre soi-disant
justice :
- Nous ne
faisons de mal à personne.
- Nous payons
nos dus.
- Nous prenons
soin des miséreux.
- Nous
respectons la loi, les commandements du moins ceux que nous prétendons
connaitre.
Stop ! Stop !
Stop ! Arrêtons- nous un
peu s’il vous plait ; et examinons le réquisitoire de Dieu.
Esaïe 1:4
4 Oh ! Nation
pécheresse, peuple chargé d’iniquités ; race de malfaiteurs, enfants dégénérés !
Ils ont abandonné le Seigneur, outragé
le Saint d’Israël, reculé loin de lui.
Si nous voulons être héritier de la promesse, Nous devons donc admettre que nous
sommes nous même :
- Nation pécheresse,
coupable
- Peuple chargé
d’iniquités, d’injustice
- Race de criminels,
brigands
- Des enfants
dégénérés psychologiquement, dont le mental est atteint
Pourtant Israël par l’appel d’Abraham et l’envoi
de Moïse, est devenu le peuple choisi pour être la lumière dans le monde, et
pour enseigner aux autres la connaissance de la parole de notre Dieu.
Durant leur
longue histoire, quelle a été leur attitude à l’égard de cet appel ?
- Dans le désert, ils ont adoré le veau d’or !
- Sur la terre promise ils ont été insatiables et, ils ont demandé un
roi !
- Plus tard ils se sont égarés dans le paganisme, ce qui aboutit à la leçon
amère des 70 ans de captivité babylonienne !
- En poussant leur folie au maximum leurs chefs déclarent qu’ils ne veulent
« aucun roi autre que César » !
- Au plus haut degré de leurs
erreurs ils ont rejeté le Messie, qui pourtant était annoncé depuis des lustres
ce qui a abouti à la destruction de Jérusalem par Titus, et ce, moins d’une
génération après la mort de Jésus-Christ !
A travers les chapitres de la tragique histoire
juive, apparaît constamment la révolte contre la volonté de Dieu.
Pourtant, Moïse les avait prévenus. Dans la bible appelée « Torah » en
hébreux, nous retrouvons ses paroles.
Deutéronome
31 : 27
27 Car je connais ton esprit de
rébellion et la roideur de ton cou Si vous êtes rebelles contre l’Eternel
pendant que je suis encore vivant au milieu de vous, combien plus le serez-vous
après ma mort !
Voyez vous
ces paroles peuvent très bien nous convenir à nous qui nous disons
« chrétiens »
Ne sommes-nous pas nous aussi toujours occuper à protester, à nous plaindre, à résister aux
injonctions, à l’ordre de Dieu….
Sommes-nous différent de ce peuple : Israël,
A vrai dire
nous sommes vraiment mal placé pour les juger et les condamner, car nous nous
comportons de la même manière qu’eux et nous sommes peut être encore plus
coupables qu’eux ayant acquis au fil des générations les connaissances des
choses qu’ils ne possédaient pas
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